Le massage psycho-somato-intuitif

Notre structure corporelle est notre grille de lecture du monde. L’assouplir donne de nouvelles perspectives.

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Par Manuel GASTAMBIDE *

Les émotions n’occupent pas que notre mental. Elles vivent dans le corps, s’y propagent comme des ondes à la surface de l’eau, et parfois s’y inscrivent durablement. A force d’emprunter telle ou telle voie dans nos tissus, elles dessinent des chemins, tracent des autoroutes que peu à peu on privilégie, au détriment de sentiers à l’abandon. En circulant dans notre corps, les émotions nous structurent. Et leurs empreintes vont finalement nous conditionner dans notre façon de ressentir le monde et de vivre la relation.

Comme une corde de violon, qui vibre différemment selon sa tension, nos tissus, qu’ils soient peau, muscle, fascia ou os, laissent courir les émotions ou au contraire les bloquent. Un traumatisme, une frustration, une incompréhension ?… et voilà qu’apparaît une retenue dans le corps, un obstacle que la vibration émotionnelle ne pourra plus franchir naturellement. Un moment de bonheur, une vague émotionnelle plus douce, un sens donné à une souffrance d’autrefois ?… et c’est tout un champs oublié de soi-même qui est réinvesti et qui s’ouvre à la vibration, à la sensation.

« Chaque tension musculaire contient l’histoire et la signification de son origine » constatait déjà Wilhelm Reich. Le massage – c’est son aspect découvrant – permet d’interroger sans mots les origines émotionnelles de chaque blocage énergétique, d’amener la personne à prendre conscience de ses déséquilibres, de ses raideurs, de ses trous dans le corps, de ses ruptures, pour en comprendre le sens. Il peut aussi – par son côté recouvrant – refermer les blessures symboliques, relier les parties d’un corps éclaté, reconstruire, unifier, harmoniser.

La relation silencieuse qui s’instaure à travers le toucher n’est pas neutre. Elle est intime et réciproque : lorsqu’on est touché, on touche en même temps. La qualité de toucher s’inscrit dans l’histoire de chacun. Comment a-t-on été touché et embrassé ? Avec qu’elle sérénité ou au contraire quelle appréhension, ressentie inconsciemment, a-t-on été caressé, soigné, coiffé, nettoyé et porté dans notre enfance ? De cette histoire tactile, il reste une façon bien à soi de toucher et de se laisser toucher, de s’ouvrir ou de se fermer au contact de l’autre. Ces ouvertures, ces fermetures, comme les émotions non résolues du passé, sont inscrites dans la structure du corps. Le massage va les mettre en évidence en révélant aux doigts du praticien les blocages et les fuites d’énergie, mais aussi les parties déjà fluides sur lesquelles il va pouvoir s’appuyer.

Pour la personne qui reçoit le massage, les blocages seront ressentis comme des douleurs, des tensions, des zones sans vie. En laissant un espace d’écoute aux perturbations – et pour autant que la relation de confiance se soit instaurée entre le masseur et le receveur – elles vont se mettre à « parler ». Elles vont raconter le pourquoi de leur origine, les souffrances qu’elles renferment et les raisons pour lesquelles elles n’ont pu s’en défaire. Après l’expression de ce trop plein de souffrance, qui peut se faire par la parole mais aussi par des mouvements spontanés de libération ou par des larmes, des cris, des rires, vient le moment de l’apaisement : la perturbation se transforme en courrant régulier, simplement parce qu’elle a pu dire son existence.

Article paru dans l’ouvrage : BEGUIN Richard, NOGRETTE Catherine, Je prends ma vie en main, Formes et forme.

* Manuel GASTAMBIDE est directeur de l’Ecole du massage intuitif et somatothérapeute à Lille.

La Peau et le Toucher

La peau est un organe déterminant dans le développement du comportement humain. Elle agit comme un récepteur sensoriel qui enregistre et répond au contact et à la sensation du toucher. Chaque sensation correspond à un message humain fondamental, et ce, presque dès l’instant de la naissance. Le stimulus de la sensation brute du toucher est vital pour la survie de l’organisme. En ce sens, on peut poser comme postulat que le besoin de sensation tactile devrait être ajouté à la liste des besoins organiques pour tous les vertébrés, et même pour les invertébrés.

Les besoins fondamentaux, définis comme des aspirations qui doivent être satisfaites pour que l’organisme survive, sont les besoins d’oxygène, de liquide, de nourriture, de repos, d’activité, de sommeil, les besoins d’élimination urinaire et fécale, l’aptitude à fuir le danger et à éviter la douleur. On peut remarquer que la sexualité ne fait pas partie des besoins fondamentaux, étant donné que la survie de l’organisme n’est pas soumise à la satisfaction de ce besoin. Il n’y a que quelques espèces qui ont besoin de satisfaire leurs pulsions sexuelles pour pouvoir survivre. Quoi qu’il en soit, les observations ont incontestablement prouvé qu’aucun organisme ne saurait survivre très longtemps sans stimulation cutanée d’origine externe.

Il est clair que les stimulations cutanées sont nécessaire à la survie de l’organisme. Et pourtant, cette constatation élémentaire ne semble pas vraiment reconnue. Le toucher, la forme de stimulation tactile à laquelle nous nous sommes particulièrement attachés est très importante en tant que stimulation cutanée. Par toucher, nous entendons le contact satisfaisant d’une autre peau ou la sensation satisfaisante de la sienne propre. Le toucher peut se faire en caressant, en cajolant, en tenant dans les bras, en frappant ou en tapotant avec le doigt ou avec la main, il peut aller d’un simple attouchement corporel à la stimulation tactile totale dans l’acte sexuel.

Il existe des différences de culture à culture dans la manière d’exprimer le besoin de stimulation tactile et de le satisfaire. Mais le besoin lui-même est universel et partout le même, même si la façon dont il est réalisé peut varier selon le lieu et l’époque.

Les observations suggèrent qu’un plaisir tactile satisfait pendant la petite enfance et pendant l’enfance est fondamental pour le développement ultérieur vers un comportement équilibré de l’individu. Les résultats d’expériences ou de recherches sur les animaux et aussi les observations sur les hommes montrent que la frustration tactile au début de la vie du bébé aboutit a des anomalies du comportement dans sa vie adulte. Aussi importantes que soient ces données théoriques, ce sont leurs implications pratiques qui nous intéressent ici. En un mot, comment ces découvertes peuvent-elles contribuer à l’amélioration de l’équilibre des êtres humains?

Il devrait être évident que, pour le développement de la personne, la stimulation tactile doit commencer dès la naissance. L’enfant qui vient de naître doit aussitôt être mis dans les bras de sa mère et rester allongé près d’elle aussi longtemps qu’elle le désire. Il doit être mis au sein dès que possible. Il ne faut pas le placer dans un berceau ni l’emmener dans une « pouponnière « . On devrait rétablir et généraliser le berceau traditionnel qui est le meilleur substitut qu’on ait pu inventer et le meilleur auxiliaire au bercement dans les bras de la mère. Il est difficile de trop cajoler un bébé une personne sensée et raisonnable ne surexcitera probablement pas un bébé; mais si l’on hésite entre les deux attitudes, autant faire trop de caresses que pas assez.

Au lieu d’utiliser une poussette, il vaut mieux que le père ou la mère porte l’enfant sur le dos dans un support équivalent au parka esquimau ou à la maïda chinoise. On doit éviter de cesser trop brusquement toutes ces cajoleries. Et nous recommandons aux parents, dans les sociétés occidentales et au États-Unis en particulier, d’être plus démonstratifs entre eux et avec leurs enfants qu’ils ne l’ont été par le passé.

Ce n’est pas tant les mots que les gestes qui transmettent les émotions et l’affections dont enfants et parents ont en réalité grand besoin. Les sensations tactiles acquièrent une signification associée aux situations dans lesquelles elles sont éprouvées. Lorsque le toucher transmet l’affection et l’émotion qu’il implique, ces sensations sécurisantes et leurs significations resteront associées au toucher. Mais quelqu’un qui n’aurait pas eu une expérience tactile satisfaisante dans l’enfance serait privé de ces associations et aurait en conséquence des difficultés à établir des relations avec les autres. D’où l’importance du toucher pour l’homme.

Source: Ashley Montagu :  » La peau et le toucher.  » 1971 ©

Le sens biologique de la maladie

Le décodage biologique

De plus en plus de monde en parle. Mais de quoi s’agit-il ? Des auteurs à succès, comme Thierry Janssen, posent la question : la maladie a-t-elle un sens ? Alors que d’autres médecins et chercheurs sont déjà allés beaucoup plus loin dans la réponse à cette question et ont démontré, avec des milliers de guérisons à
l’appui, que, non seulement
la maladie en général a bien un sens, mais que chaque maladie particulière a un sens particulier.
C’est dans notre cerveau inconscient, ce super ordinateur, programmé exclusivement en terme biologique de survie, que nous allons trouver la clé subtile qui ouvre la porte à la compréhension d’une des plus belles logiques du vivant qui soit. Mise en pratique, cette nouvelle connaissance donne des outils pour décoder les fictions qui nous gouvernent et évoluer vers la santé globale.

Il faut rendre à César ce qui appartient à César. Bien sûr, l’histoire de la découverte du sens biologique des maladies appartient à de nombreux savants qui ont chacun apporté une pierre à l’édifice et il y a eu des précurseurs qui sont évoqués dans plusieurs livres sur le sujet, tel Henri Laborit, dont les recherches ont été mises en pleine lumière par Alain Resnais dans son film Mon oncle d’Amérique ». Mais il est incontestable que c’est au médecin allemand Ryke Geerd Hamer que revient le grand mérite d’avoir été le premier à étudier la question de manière globale et approfondie et à en avoir élaboré une théorie vérifiable, reproductible et qui puisse constituer la base d’un enseignement, donc transmissible pour le bien de tous.

Rendre à Hamer…

La compréhension du sens de la maladie commence bien évidemment par… une maladie  ! Et pas n’importe laquelle, une des plus redoutées au monde : le cancer. En effet, suite au décès soudain de son fils de 19 ans Dirk, le docteur Hamer « attrape » un cancer aux testicules. Il se dit, comme nous parfois lorsque nous « tombons » malade après un événement dramatique, que ce n’est pas possible que cette maladie, qui touche justement l’organe de son corps chargé de la fonction de reproduction, ne soit pas en lien avec le choc émotionnel qu’il vient de vivre. Il se rend dans l’hôpital où il travaille, en Allemagne, pour consulter les dossiers de patients atteints d’un cancer et il va constater que tous évoquent la survenue d’un événement dramatique dans leur vie quelque temps avant l’apparition de leur cancer. « Le DHS », Dirk Hamer Syndrome, c’est-à-dire le choc brutal vécu dans l’isolement créant un sur-stress ingérable par notre psyché et qui est à l’origine de tout cancer, vient d’être découvert. C’est de là que tout est parti, la machine de l’exploration du sens biologique des maladies était lancée et d’autres grands médecins et chercheurs, passionnés de guérison, tels les français Claude Sabbah et Gérard Athias, vont par la suite prendre connaissance des découvertes de Hamer, les développer, les approfondir, les mettre en relation avec d’autres travaux, comme ceux de Marc Fréchet.

La logique bio

Nous avons la grande chance d’avoir dans la tête un cerveau. L’Homme a le plus gros cerveau qui soit parmi tous les êtres vivants. Il y a d’une part le cerveau conscient, la pensée, qui en constitue une petite partie. Mais il y a surtout le cerveau inconscient, qui occupe la plus grosse partie et dont la fonction est de gouverner le corps. Chaque organe est relié à un foyer de neurones qui le dirige. Par exemple, lorsque nous courons, le foyer de neurones chargé de faire battre le cœur lui donne l’ordre de battre plus vite. Lorsque nous avons mangé, c’est tout un travail d’équipe qui se met en place dans le cerveau pour donner aux nombreux organes de la digestion les ordres adéquats pour le passage et la digestion du bol alimentaire, de l’estomac à l’anus. On pourrait comparer le cerveau inconscient à un super ordinateur, un computer encore bien plus puissant et plus performant que ceux que les hommes ont inventés.
La chose la plus importante à comprendre et qui est le cœur du cœur de la réalité du sens biologique des maladies et autres dysfonctionnements, c’est que ce cerveau inconscient, ce super ordinateur, est programmé exclusivement en terme biologique de survie. Son boulot, c’est, tout au long de notre vie, de trouver des solutions pour que nous soyons en vie, instant après instant, le plus longtemps possible. Il fait des milliards de calculs, en fonction des informations qu’il reçoit de l’univers par nos sens, et aussi de notre pensée, et il en ressort des programmes de survie qu’il applique là où il peut, c’est-à-dire dans notre corps, puisque notre cerveau ne peut agir que sur notre corps et non sur ce qui lui est extérieur. Quelle grande et bonne nouvelle  ! Vous ne trouvez pas ? Nous avons la chance d’avoir en nous cet outil extraordinairement performant qui veille sur nous tout le temps sans que nous ayons besoin de rien faire, ni même de penser  ! Merci mon cerveau inconscient  ! Et bravo pour tout ce que tu as réussi depuis le premier être humain jusqu’à moi, pour toutes ces solutions de survie que tu as trouvées de génération en génération, sans quoi je n’existerais pas.

L’infaillibilité vitale

Et ce n’est pas tout, car non seulement le cerveau trouve des solutions de survie, mais en plus il ne se trompe jamais, il est parfait, il prend toujours, en fonction des informations qu’il reçoit, la bonne solution, la meilleure pour notre survie. Un exemple très simple va nous aider à le comprendre. Vous êtes en ville sur un boulevard et vous voulez traverser la chaussée. Si, lorsque vous vous engagez sur celle-ci, votre cerveau enregistre l’information qu’un bus arrive vers vous à vive allure, vous allez avoir ce qu’on appelle un réflexe de survie : votre cerveau inconscient, dans l’instant même, va donner l’ordre à vos muscles d’agir d’urgence et vous allez vous jeter en arrière pour revenir sur le trottoir que vous venez de quitter. Le bus passe et vous avez la vie sauve. Votre cerveau inconscient – car tout cela est resté inconscient, vous n’avez pas eu le temps de penser l’acte avant de le faire, – a joué son rôle. Imaginons maintenant que vous êtes plus avancé sur la chaussée, vous êtes presque arrivé sur le trottoir d’en face lorsque votre cerveau enregistre le même stress : un bus fond sur vous. Vous n’allez pas avoir le même réflexe de survie car, si vous vous jetez en arrière, vous restez en danger sur la chaussée : dans ce cas, la solution de survie qui sera donnée par le cerveau inconscient, dans l’instant même, ce sera de vous jeter en avant pour rejoindre le trottoir d’en face, le bus passe derrière vous et vous avez la vie sauve. A chaque fois, à chaque instant, tout au long de la vie, en fonction des informations qu’il reçoit, le cerveau prend toujours la bonne solution, la seule qui soit parfaite pour notre survie. Quelle chance, oui vraiment, quelle chance, et encore merci mon cerveau pour toutes les fois où tu m’as sauvé la vie.

La maladie, solution parfaite

On a longtemps cru que la maladie était une chose moche et sale qu’on « attrape » pour Dieu sait quelle raison, une sorte de fatalité venue de l’extérieur, qui s’abat sur nous, et personne ne s’inquiétait trop de savoir pourquoi l’une faisait des angines et son voisin des rhumes. Comme si tout cela n’avait aucun sens et était dû au hasard. Or il n’y a pas de hasard. Le hasard n’existe pas. Tout a un sens car tout ce qui est vivant est gouverné par une logique de survie. Si on essayait de regarder la maladie autrement…
Puisque le cerveau inconscient dirige tout le corps et qu’il est programmé en terme biologique de survie, chaque maladie qui arrive dans un organe du corps est donc elle aussi une solution de survie, envoyée par le cerveau inconscient dans l’organe, parce que, en cet instant-là, en fonction des informations qu’il reçoit de l’univers par nos sens et de notre pensée, il vaut mieux mettre cet organe-là en maladie pour notre survie, pour nous décharger d’un sur-stress global qui peut être mortel. Et puisque le cerveau est parfait, il ne se trompe jamais, la maladie en question ne sera pas « choisie » au hasard, elle sera très précisément, avec une précision de laser, la solution parfaite au sur-stress émotionnel vécu par la personne.

Exemple animal

Un exemple dans le règne animal va nous aider à y voir clair. Prenons un renard qui vit dans la nature sauvage. Il a tué un lièvre pour se nourrir et s’apprête à le dévorer lorsqu’arrive un concurrent, il avale vite un gros morceau, une patte entière sans la croquer, pour ne pas le laisser à l’autre. Notre renard va à ce moment se trouver dans une situation de grand stress : il a dans l’estomac un morceau très indigeste, il lui faudra très longtemps pour le digérer par l’action des cellules digestives et il risque de mourir d’inanition car il ne pourra plus se nourrir. Le chronomètre de la survie est enclenché. L’information arrive au cerveau inconscient et celui-ci doit trouver une solution de survie. Quelle sera-t-elle ? La seule qui sera parfaite pour lui sauver la vie. Un rhume, une grippe, une sclérose en plaques, un cancer des poumons, une dépression, ? Non, toutes ces solutions seraient inefficaces. Même un ulcère à l’estomac, ça ne suffirait pas. Il va avoir la seule maladie qui puisse lui permettre de digérer ce morceau indigeste rapidement, à savoir un bon cancer de l’estomac. Son cerveau va donner l’ordre aux cellules digestives de l’estomac de muter et de devenir cancérigènes. On a fait des tests en laboratoire pour mesurer la capacité de digestion des cellules cancérigènes et des cellules normales de l’estomac, la conclusion est très nette : les cellules cancérigènes peuvent digérer le morceau 10 fois plus vite  ! Un cancer à l’estomac, c’est mettre le turbo pour digérer le morceau. Ainsi, notre renard, au lieu de mettre 40 jours, grâce à sa tumeur, il ne mettra que 4 jours pour digérer sa patte avec de l’os, des poils, des ongles, etc. Ensuite, l’information de la solution du conflit arrivera à son cerveau, il sentira qu’il peut se réalimenter et, à l’instant même, le cerveau enverra l’ordre d’arrêter le programme cancer puisqu’il n’a plus de sens dans la logique de survie. Quand cela n’a plus de sens en terme de survie, le cerveau inconscient arrête le programme « maladie » et il passe au programme « guérison ». De la même manière, dans l’exemple précédent, lorsque vous avez traversé la chaussée sain et sauf et que vous vous promenez tranquillement dans le parc qui se trouve de l’autre côté, votre cerveau ne vous envoie plus l’ordre ni de vous jeter en arrière, ni de vous jeter en avant. Car cela n’a plus de sens.

Le passage à l’état de maladie

La vie, c’est le conflit. N’espérez pas vivre sans conflit, ce sera pour quand vous serez morts. L’existence même de l’univers n’est-elle pas le fruit d’un énorme conflit entre matière et antimatière ? Nous sommes à peine levés que les conflits commencent, le réveil, le départ au travail, les embouteillages, les enfants, le couple, le directeur, les collègues, les voisins, etc. Mais dans la plupart des cas, il ne s’agit que de petits conflits psychologiques : nous arrivons assez vite à les solutionner avec notre corps et notre pensée et nous ne sommes pas malades. Au lieu d’essayer d’échapper aux conflits, ce qui est une illusion, il vaut d’ailleurs mieux travailler à devenir un(e) expert(e) en résolution de conflits.
Certains conflits sont plus importants que d’autres, ils vont être à l’origine d’un sur-stress, soit parce qu’il s’agit de gros conflits inhabituels, par exemple si, comme le docteur Hamer, vous perdez un enfant, le plus grand stress personnel qui soit, soit parce qu’ils viennent réveiller une mémoire dramatique encodée dans votre inconscient, mémoire personnelle, par exemple d’un drame vécu dans l’enfance, ou mémoire familiale d’un grand stress vécu par les parents pendant la période où ils vous concevaient ou par d’autres membres du clan familial auxquels vous êtes reliés et dont vous avez hérité des programmes biologiques de survie. En effet, pour être aussi performant, le cerveau inconscient mémorise et garde la trace de tous les événements où la survie est en jeu pour retenir les bonnes solutions de survie et qu’elles soient utiles dans le futur. Dans ce cas, le conflit passe en biologie et c’est une maladie ou un dysfonctionnement qui va apparaître dans un organe du corps comme solution au conflit initial. La maladie va donc dépendre du type de conflit vécu par la personne, puisqu’elle est chargée de
le solutionner. Elle va dépendre aussi du ressenti de la personne.

L’importance du ressenti

Nous sommes en effet tous différents et, si vous prenez 10 personnes qui vivent le même conflit, par exemple surprendre son conjoint en flagrant délit d’adultère, elles ne vont pas toutes avoir la même maladie. Il y en a d’ailleurs qui ne seront pas malades, par exemple celle ou celui qui n’aime plus son conjoint et voulait justement le quitter. Parmi les autres personnes, ce choc pourra déclencher diverses maladies en fonction du ressenti de chacun(e). Celle qui est une « digestive » par exemple, ressentira cet événement comme un « morceau » particulièrement difficile à digérer, fera une pathologie digestive et l’organe qui sera atteint dépendra des fines tonalités de son ressenti. Celui qui est plus territorial » ressentira le stress comme une importante perte de territoire amoureux, ce qui donnera d’autres maladies. Et ainsi de suite. Le travail énorme qui a été fait par Hamer, Sabbah, Athias et les autres, c’était de trouver, par rapport à chaque maladie ou dysfonctionnement, à quel type de conflit et de ressenti cela peut correspondre, ce qui permet un travail de décodage rapide et fin, et donne à chacun des outils exceptionnellement riches pour comprendre la logique de sa maladie. Les termes de règles », lois » ou invariants » ont été souvent utilisés pour définir ce qu’il est peut-être préférable d’appeler des pistes, car chaque cas est particulier et le grand art du décodage biologique c’est, conformément à la maïeutique de Socrate, d’aider chaque patient à accoucher » de sa » guérison et à découvrir comment lui, dans son histoire personnelle et familiale, unique, qui ne ressemble à aucune autre, il entre dans cette logique biologique de survie.

Exemples de maladies

Voici quelques exemples de maladies : à quoi pourraient-elles être la solution parfaite ?
– Le cancer de l’estomac, nous l’avons vu : pour permettre de digérer rapidement un morceau (réel, imaginaire, symbolique ou virtuel) récent très indigeste.
– La myopie : pour utiliser toute la capacité visuelle pour mieux voir de près car c’est là que se trouve le danger (et l’inverse pour l’hypermétropie).
– Le cancer des ovaires ou des testicules : pour créer des cellules turbo capables de recréer ce qui a été dramatiquement perdu.
– Le cancer des poumons : pour se faire un super poumon quand on voit fondre la mort sur soi.
– La migraine : pour ne plus penser car notre pensée est incapable de faire des bons plans.
– La cystite : pour mieux marquer son territoire par l’urine.
– La paranoïa : pour ne plus courir le risque de se faire avoir, car tout est dangereux.
– Le cancer du sein : pour faire un super nid car dans le sien il y a un drame avec l’enfant ou le mari.
– Le diabète : pour avoir plus de sucre dans le sang et mieux résister à tout.
– Le mélanome : pour faire une carapace protectrice.
– L’hyperthyroïdie : pour aller plus vite pour attraper le morceau.
– L’infarctus du myocarde mortel : pour éliminer le vieux » qui ne veut pas laisser la place, qui n’accepte pas de perdre son territoire. Ici c’est un cas particulier, car la solution de survie n’est pas individuelle, mais collective : c’est la survie du clan et de l’espèce qui prime, quitte à ce que l’individu meure.

Les quatre niveaux conflictuels

Tout est relatif, sauf le conflit. C’est la seule règle biologique absolue : pas de maladie sans conflit, où la survie est en jeu, à son origine. Tout le reste peut varier, d’une histoire familiale à l’autre. Pour faire un travail de guérison en profondeur, il est nécessaire de s’intéresser à plusieurs périodes durant lesquelles les conflits peuvent apparaître.

Il y a tout d’abord la période qui précède l’arrivée de la maladie, le passé récent, les jours, semaines, voire mois avant l’apparition des symptômes et le diagnostic de la maladie. Quel conflit important aurait été vécu, soudainement, ressenti avec un sur-stress, dans la solitude, tout en restant dans l’inhibition de l’action, ce qui aurait pu déclencher la maladie ? Est-ce que ce conflit est toujours actif ou solutionné ? Car il y a des maladies qui apparaissent en cours de phase active de conflit et d’autres qui apparaissent après la solution du conflit, lors de la réparation de l’organe concerné. Trouver ce conflit, et le cas échéant le solutionner, permettra déjà une amélioration voire la guérison, mais pour une guérison complète ou éviter les rechutes, il est nécessaire d’aller voir ce qui s’est passé avant et ce qui a été encodé dans le cerveau inconscient, sinon le disque dur de l’ordinateur jouera toujours les mêmes programmes.

Dans l’enfance, l’adolescence et le début de la vie d’adulte, on cherchera les conflits personnels programmants, qui n’ont pas déclenché la pathologie à ce moment, mais ont sensibilisé l’être vivant. Ce sont comme des bombes à retardement, prêtes à éclater lorsque plus tard il vivra un conflit du même type, qui, dans le représenté cérébral, sera relié au (x) précédent(s). Dans la période périnatale, de 18 mois avant la naissance, jusqu’à la fin de la première année, on cherchera les conflits parentaux dont le nouvel être vivant va s’imprégner, au point que le sens de sa vie future sera de réaliser tous les projets inconscients de ses parents et de solutionner les conflits qu’ils n’ont pu solutionner. Enfin, dans la mesure du possible, on ira voir dans les mémoires familiales généalogiques quelles sont les solutions trouvées par nos ancêtres, particulièrement lors des périodes où la survie est en jeu – guerre, émigration, famine,… – qui ont encore une résonance en nous aujourd’hui. Merci à tous mes ancêtres pour toutes les bonnes solutions de survie que vous avez trouvées et que vous m’avez transmises. Mais celle-ci, celle qui est à l’origine de ma maladie, je n’en ai plus besoin, elle peut sortir du clan familial car elle n’a plus de sens.

Le passage en guérison

La maladie c’est bien, merci, me direz-vous, mais la guérison c’est encore mieux. Et vous aurez raison. La maladie n’est pas faite pour durer. Elle est là pour décharger l’individu d’un sur-stress général en le diminuant, le détournant, le ramenant à un stress localisé qui permet la survie. Mais l’apparition de la maladie est elle-même un élément générateur de nouveaux conflits et dans la plupart des cas d’une dépression d’accompagnement. Vive la maladie, mais surtout vive la guérison.
Le passage en guérison se fait exactement à l’inverse du passage en maladie. C’est comme un interrupteur qui était sur « on » et qui passe sur « off ». Les conditions pour y arriver sont d’une part de trouver, avec la certitude absolue, quels sont les conflits à l’origine de la maladie, ensuite de solutionner les conflits qui seraient actifs, une démarche qui dépend uniquement du patient, c’est son choix et sa liberté de le faire ou non et de choisir telle solution plutôt que telle autre, car il y en a souvent plusieurs. Enfin lorsque l’information arrive au cerveau de la solution du conflit, il y a basculage immédiat, dans l’instant même, en guérison, guérison automatique par le cerveau inconscient parce que, quand la maladie n’a plus de sens, elle s’arrête. Commence alors la guérison de l’organe qui était malade, ce qui nécessite du repos et crée des symptômes qui peuvent être douloureux dans certains cas, pouvant faire douter le patient et le faire sortir de la certitude absolue, véritable ciment de la guérison.

La maladie = le mal a dit

Ecoute, regarde, découvre ce que te dit ton mal, il te dit tout. Telle pourrait être la première conclusion de ce voyage au cœur du sens biologique des maladies. L’examen biologique de chaque pathologie, en tenant compte de la fonction de l’organe concerné, de ce qui se passe dans la physiologie au cours de la maladie et aussi de la symbolique, permet de trouver le sens des maux. Comprendre, grandir, puisqu’il s’agit souvent de mémoires anciennes et de deuils à terminer, et puis guérir. En apprenant à utiliser sa pensée, pour envoyer des mots guérisseurs vers le cerveau inconscient. La puissance du verbe est importante et nous appartient. Un mot peut nous faire tomber malade. Lorsqu’on l’a trouvé, le mot maladisant, on a plus de chances de trouver le mot guérisseur. Car un mot peut aussi nous faire guérir. Apprenons les bons mots qui soulagent les maux.

Exerçant la profession de juriste, Bernard Tihon s’est intéressé au sens des maladies pour des raisons de santé personnelle. Sa guérison l’a entraîné à poursuivre son apprentissage en suivant de nombreux séminaires de formation. Ex-collaborateur du magazine Bioinfo, il est aujourd’hui le collaborateur principal de la revue Néosanté. Il est l’auteur, aux éditions du même nom, du livre « le sens des Maux »

En savoir plus

Quelques ouvrages sur le sujet :

-Robert GUINEE, « Les maladies, mémoires de l’évolution »,
éditions Amyris.

-Gérard ATHIAS, « Les racines familiales de la mal a dit »
tomes 1, 2 et 3, éditions Pictorus.

-Eduard VAN DEN BOGAERT et asbl Téligaté,
« Dictionnaire des codes biologiques des maladies ».

-Alain SCOHY, « Guide des maladies ».

-Léon RENARD, « Le cancer apprivoisé »,
éditions Quintessence.

-Bruce H. LIPTON, « Biologie des croyances »,
éditions Ariane.

-Jean-Jacques CREVECOEUR, « Le langage de la guérison »,
éditions Jouvence.

-Anne ANCELIN SCHÜTZENBERGER, « Aïe, mes aïeux  ! »,
éditions La Méridienne Desclée de Brouwer.

-Olivier SOULIER, « Histoires de vie – messages du corps ».

-Christian FLECHE, « Décodage biologique des maladies »
et  « Mon corps pour me guérir », éditions Le souffle d’or.

-Thierry JANSSEN, « La maladie a-t-elle un sens ? »,
éditions Fayard.

-Pierre-Jean THOMAS-LAMOTTE, « Et si la maladie n’était pas un hasard… », éditions Le jardin des livres.

Sites internet :

www.germanique-nouvelle-medecine.com
www.athias.net
www.alasanteglobale.com
www.biodecodage.com
www.alain-scohy.com
www.lessymboles.com

LES CINQ LOIS BIOLOGIQUES
DE HAMER

La lecture des écrits de Hamer est ardue pour les francophones. Heureusement, Robert Guinée
a suivi de près ses travaux et, dans son livre « Les maladies, mémoires de l’évolution », il a réalisé la plus fidèle présentation française qui soit des découvertes de Hamer, en y ajoutant sa propre expérience.

1ère loi : la loi d’airain du cancer

Tout cancer débute par un D.H.S., un choc brutal, un conflit aigu, dramatique, qui prend l’individu à contre-pied, vécu dans l’isolement et perçu par le patient comme le plus grave qu’il ait jamais connu. C’est la manière subjective, voire l’endroit du corps où le patient l’a ressenti qui détermine la
localisation du cancer dans les organes et plus précisément dans les tissus des organes. Par la suit
e, cette loi a été étendue à la quasi-totalité des maladies, sauf principalement à celles résultant de l’action toxique ou d’agents physiques qui agissent par effet de masse et des maladies résultant de carences alimentaires graves.

2ème loi : la loi d’évolution biphasique des maladies

Toute maladie est caractérisée par une évolution en deux phases, à condition que le conflit ait reçu une solution : la phase active du conflit et la phase qui suit la résolution du conflit, dite aussi phase post-conflictolyse ou phase de guérison.

3ème loi : le système ontogénétique des tumeurs et des équivalents cancéreux

Les relais cérébraux qui sont situés dans le cerveau ancien (tronc cérébral et cervelet) sont en résonance avec les tissus de l’endoderme et du mésoderme ancien. Les programmes biologiques qui y correspondent aboutissent à la formation de masse dans ces tissus Les relais situés dans le cerveau nouveau (substance blanche et cortex cérébral) sont en résonance avec les tissus du mésoderme nouveau et de l’ectoderme. Les programmes biologiques qui y correspondent peuvent aboutir, selon le tissu, soit à des nécroses, soit à des blocages durant la phase active du conflit. durant la phase active du conflit.

4ème loi : le système ontogénétique des microbes

La classification des microbes correspond à leur âge : les plus anciens sont les champignons, les « médiévaux » sont les bactéries et les plus jeunes sont les virus. Tous les microbes sans exception travaillent exclusivement, et sur ordre du cerveau, durant la phase qui suit la solution du conflit jusqu’à la fin du processus de guérison. Les champignons traitent les tissus les plus anciens issus de l’endoderme et régis par le tronc cérébral. Les bactéries traitent les tissus moyennement anciens, issus du mésoderme et régis par le cervelet ou la substance blanche. Les virus traitent les tissus les plus nouveaux, issus de l’ectoderme et régis par le cortex cérébral. De plus, tous les microbes sont spécialisés, non seulement en fonction des tissus qu’ils traitent, mais aussi en fonction de la manière dont ils travaillent : les champignons agissent comme des éboueurs pour déblayer les masses ; les bactéries peuvent travailler à la fois comme éboueurs et restaurateurs ; les virus travaillent à la restauration des tissus nécrosés.

5ème loi : loi de la quintessence des maladies

LE DÉCODAGE BIOLOGIQUE À SA VRAIE PLACE

Le sens biologique des maladies, c’est la théorie.
Le décodage biologique, c’est la pratique, l’utilisation du savoir au cours de consultations individuelles, centrées sur une
problématique particulière, avec l’aide d’un psychothérapeute.

La place du décodage biologique n’est pas « devant »
la médecine.

La médecine occidentale a fait largement ses preuves comme étant le meilleur moyen de retrouver la santé. Souvent, la première chose à faire par le psychothérapeute spécialisé en décodage biologique, c’est de renvoyer le patient chez le médecin, de le convaincre de l’importance de retrouver confiance en lui et de l’utilité de ses traitements pour lutter contre la maladie. De plus, aucun décodage fin n’est possible sans un bon diagnostic médical préalable, c’est dire quelle outrecuidance guide celui qui prétend s’en passer. Enfin, et c’est sans doute le plus important, tout thérapeute qui pratique le décodage biologique et tout patient qui entreprend ce travail doit bien évidemment ne pas interrompre un traitement médical qui serait recommandé par le médecin. Ils n’y ont de toute façon aucun intérêt car cela donnerait peu de chance au basculage en guérison vu le supplément de stress que cela occasionnerait chez l’un comme chez l’autre. Mais surtout cela ferait courir un grand risque au patient et serait totalement contradictoire avec le principe « d’abord ne pas nuire ». Ces dernières années, le non respect par de rares illuminés de cette précaution élémentaire a jeté l’opprobre sur une profession qui par ailleurs respecte généralement ce grand principe.

La place du décodage biologique n’est pas
« derrière » la médecine

Caché derrière, comme si on avait honte, comme si la clandestinité était le seul repaire et repère. Car la médecine doit reconnaître qu’elle est en échec pour la guérison de nombreuses maladies, notamment toutes les maladies chroniques, dont les cancers. Et il serait temps qu’elle s’ouvre enfin, non seulement au décodage biologique, mais aussi à d’autres thérapies nouvelles et alternatives qui, en envisageant l’individu dans sa globalité, ont une autre approche qu’elle, permettant de solutionner ce qu’elle laisse en chantier. Puisque de toute façon les malades non guéris, donc insatisfaits, vont un jour ou l’autre aller voir ailleurs. Si la médecine guérissait tout, il n’y aurait pas de place pour d’autres alternatives. Mais ce n’est pas le cas. L’oncologue par exemple doit constater que ses patients sont à 50 % de non guérison ou de récidive dans de nombreux cancers.

La vraie place du décodage biologique est « à côté »
de la médecine.

On a presque envie de dire : main dans la main. Le cabinet du « décodeur biologique » pourrait se trouver à côté de celui du généraliste, les patients passant facilement de l’un à l’autre, allant chercher de chaque côté le meilleur qu’on puisse lui donner pour sa santé, dans une perspective holistique. Dans l’état actuel des choses et en attendant que les facultés de médecine s’ouvrent davantage à l’origine psycho-biologique des maladies, le patient est tenu d’entreprendre les deux démarches en parallèle. Disons et redisons qu’elles sont COMPLÉMENTAIRES, que l’une ne peut nuire à l’autre et qu’elles poursuivent un même but qu’elles ont plus de chance d’atteindre en unissant leurs efforts.

Ainsi pratiqué, le décodage biologique est un plus pour la santé, une façon dynamique et indépendante de mieux connaître les fictions qui nous gouvernent, de déprogrammer celles qui nous embêtent et de prendre sa place dans une écologie solaire.

Toute maladie doit se comprendre comme étant une partie d’un programme spécial de survie, soit un gain de temps, plein de sens, et mis en place par la nature tout au long de l’Evolution.

Cette dernière loi est en quelque sorte la quintessence des quatre précédentes, mais elle ouvre également une nouvelle dimension dans notre compréhension des maladies, en nous reliant à l’ensemble du monde vivant dont nous participons.

source : http://www.neosante.eu

Comment changer notre monde !

Vous pouvez changer le monde. C’est facile.
Comment ? Dans cette vidéo, transcrite ci-dessous, le scientifique Gregg Braden explique comment fonctionne la Loi d’Attraction. Il y a un champ autour de nous, une conscience collective à laquelle nous participons tous. Cette conscience collective crée notre réalité. Nous pouvons l’influencer par notre ADN en utilisant le pouvoir de nos pensées et de notre cœur.
Nous pouvons utiliser cette loi individuellement mais aussi collectivement pour changer le monde. Il y a même une formule mathématique du nombre de participants nécessaires pour réaliser un certain effet sur un groupe plus important (par exemple la paix). Cela a été prouvé scientifiquement par des expériences. Pour changer la population du monde entier, 8.000 participants seulement sont nécessaires.
Le pouvoir de visualisation est un don de Dieu pour l’humanité, pour prendre notre destin dans nos mains, ne pas rester sur le côté et regarder impuissants. Alors acceptons ce don avec gratitude et utilisons-le !

https://www.youtube.com/watch?v=s0EeKhBqumM

Transcription de la vidéo de Gregg Braden

« Depuis 1887 jusqu’au début des années 1990, toute la science occidentale était basée sur le principe que ce qui arrive en un lieu n’a absolument aucun effet sur ce qui arrive ailleurs. Et maintenant nous savons que c’est absolument faux.

Aussi j’aimerais partager avec vous trois expériences qui secouent totalement les fondements de la physique occidentale.

La première a été conduite par le physicien russe Vladimir Poponin, au début des années1990. Il est venu aux États-Unis pour terminer cette série d’expériences. Ce que Poponin voulait, c’était investiguer la relation entre l’ADN humain et la matière dont notre monde est constitué. Les petits paquets d’énergie que nous appelons photons, des petites particules de lumière si vous préférez les voir ainsi. Donc son expérience consistait à prendre un tube, un tube en verre, à retirer tout l’air de ce tube, créant ce que nous appelons aujourd’hui un vide impliquant qu’il n’y a plus rien dans le tube. Cependant nous savons qu’il y reste encore quelque chose. Ce sont ces petites particules de lumière.

Alors Poponin mesure ces particules pour voir comment elles se répartissent. Est-ce qu’elles volent partout dans le tube, sont-elles agglutinées dans le fond, que leur arrive-t-il ? Les résultats de cette partie de l’expérience n’ont pas été surprenants. Car les particules de lumière, les photons, étaient complètement aléatoires. Et c’est ce à quoi ils s’attendaient. La deuxième partie de l’expérience devient vraiment très intéressante. Parce qu’ils ont placé un peu d’ADN humain dans le tube. Et l’ADN humain, quand ils ont mesuré à nouveau les photons, l’ADN humain a provoqué l’alignement des photons. L’ADN a un effet direct sur la matière dont notre monde est constitué !
Et c’est précisément ce que les traditions spirituelles anciennes ont toujours dit. Que quelque chose en nous a un effet sur le monde qui nous entoure.

La deuxième expérience est fascinante. C’est une expérience militaire. Ce qu’ils ont fait, en résumé, c’est prendre un peu d’ADN humain, quelques cellules de l’intérieur de la bouche d’un donneur volontaire. Ils ont placé cet ADN dans un instrument pouvant mesurer ses effets dans une salle d’un immeuble alors que le donneur ayant fourni l’ADN était dans une autre salle du même bâtiment.

Ils ont alors soumis le volontaire à ce qu’ils ont appelé une stimulation émotionnelle, suscitant des véritables réactions de joie, de tristesse, de peur, de colère ou de fureur, dans une autre partie de l’immeuble. Ils ont mesuré l’ADN pour voir s’il serait affecté par les émotions du donneur. Pourquoi le serait-il ? D’une part, dans la physique occidentale actuelle rien ne permet de dire que cet ADN est encore relié au donneur. D’autre part, ce sont eux qui dirigeaient ces expériences. Ce qu’ils ont trouvé a été exactement l’opposé. Ce qu’ils ont trouvé était que quand le donneur avait des pics et des creux émotionnels dans une salle, l’ADN avait des pics et des creux dans l’autre salle exactement au même moment.

Et la troisième expérience a été aussi réalisée au début des années 1990 par l’Institut de HeartMath. C’est un organisme de recherche de pointe au nord de la Californie qui explore le cœur comme étant bien plus qu’une simple pompe déplaçant du sang à travers le corps. Bien qu’effectivement il le fasse, cela peut être le minimum de ce que notre cœur réalise. Ils ont découvert que nos cœurs sont les plus puissants champs magnétiques de nos corps, le champ électromagnétique produit par notre cœur a un effet qui s’étend bien au delà de nos corps.

Donc ils mettent au point une expérience pour tester précisément cette théorie. Il n’est pas surprenant qu’ils ont pris un peu d’ADN humain et l’ont isolé. Puis ils ont demandé de ressentir des sentiments sur commande à des personnes entraînées à avoir ce qu’on appelle des sentiments humains cohérents, des sentiments très clairs d’amour, de reconnaissance, de compassion, de colère, de rage et de haine. Pendant que ces personnes entraînées le faisaient, ils ont mesuré la réaction de l’ADN. Et ils ont trouvé ceci : ils ont trouvé qu’en présence de reconnaissance, d’amour, de compassion, de pardon, l’ADN se relaxait énormément.

Et l’exact opposé est tout aussi vrai. En présence de colère, de fureur, de haine, de jalousie, l’ADN est contracté en un petit nœud.

Bien, chacune de ces expériences est intéressante en elle-même.

Cependant quand vous les mettez ensemble, plutôt que de rester des expériences isolées intéressantes, elles se mettent à raconter une histoire.

Et l’histoire ressemble à quelque chose comme ceci : La première expérience, celle de Vladimir Poponin, nous dit que l’ADN dans notre corps a un effet direct sur notre monde, sur les éléments physiques dont notre monde est constitué au niveau énergétique. La dernière expérience montre que les sentiments humains ont la capacité de changer l’ADN qui a un effet sur le monde qui nous entoure. L’expérience du milieu, celle qui a été conduite par l’armée des États-Unis, montre que si nous sommes dans le même immeuble ou à 600 km de là, l’effet est le même. Nous ne sommes pas limités par l’espace et le temps. En réalité, les résultats de ces expériences disent précisément ceci : vous et moi avons dans notre corps un pouvoir qui n’est pas limité par les lois de la physique telles que nous les comprenons aujourd’hui.

Les anciennes traditions n’ont pas seulement reconnu cette relation, elles nous invitent à l’étape suivante et laissent des instructions précises sur la façon de les appliquer dans nos vies. À la fin des années 1980, j’étais ingénieur pour la Défense dans des entreprises aérospatiales. J’ai commencé à explorer ces concepts en ingénieur observant le monde environnant, pour comprendre l’histoire de ceux qui nous ont précédés.

Et c’est cette pensée qui m’a conduit à voyager dans des sites parmi les plus extraordinaires de ce monde. Des temples égyptiens aux Andes de Bolivie et du Pérou. En Inde, au Népal, dans les hauts plateaux de la Chine centrale et du Tibet. Partout dans le désert du sud-ouest américain. Chercher de l’information et des preuves qui pourraient nous aider à comprendre comment nous sommes en relation avec le monde et comment nous pouvons utiliser ce pouvoir des émotions, ce pouvoir qui parle le langage du monde qui nous environne.

Et c’est précisément ce qu’un abbé du Tibet nous a décrit.

Il décrivait un mode de prière basé sur l’émotion. Et il a dit : « Nous devons ressentir l’émotion comme si la prière était déjà exaucée. » Avec ce sentiment, nous parlons des forces de création permettant au monde de nous répondre. Permettant à ce champ, cet hologramme quantique, l’esprit de Dieu, de nous répondre avec ce qui est dans ce que nous ressentons en nos cœurs. Aussi, plutôt que de prier et de se sentir impuissant dans une situation – Cher Dieu, s’il te plaît, donne la paix au monde – ce mode de prière nous invite à nous sentir participants de cette paix.

En 1972 vingt-quatre villes des États-Unis ont été utilisées dans la conduite d’une expérience où des gens étaient entraînés à ressentir un état de paix d’une façon très particulière. Ils ont été stratégiquement placés dans ces villes, chacune avec une population de plus de dix mille habitants. Ils ont été mentionnés dans des études très connues, les « Transcendantal Meditation Studies » réalisées au début des années 1970.
Ce qui est arrivé, c’est qu’au moment où les gens ressentaient ce sentiment de paix dans la communauté qui les environnait, les populations ont vécu des diminutions statistiquement vérifiées de la criminalité, au delà des immeubles où ils faisaient cette expérience. Les crimes violents contre les personnes et les accidents de la route ont décru. Dans quelques agglomérations comme Chicago où il y a une Bourse, le marché des échanges s’est envolé pendant que la paix régnait. Et quand ils ont cessé leurs prières, toutes ces statistiques se sont inversées. Ils ont renouvelé cette expérience de nombreuses fois.

C’est tellement précis que nous connaissons maintenant le nombre exact de personnes requises pour lancer ce type d’effet, les statisticiens ont pu le déterminer. Aussi je vais partager cette formule et je décrirai ce qu’elle signifie. L’effet est d’abord remarqué quand un certain nombre de personnes participent. Ce nombre, la quantité minimum, est la racine carrée d’un pour cent (√1%) d’une population donnée.

Alors ça veut dire quoi ? Avec une ville d’un million d’habitants par exemple, vous prenez 1% d’un million (sur votre calculette) puis vous faites la racine carrée de ce que ce 1% donne. Ce chiffre vous indique le nombre de personnes nécessaires – le seuil nécessaire pour commencer l’effet. Évidemment plus de personnes participent, plus l’effet est important. Pour une ville d’un million de personnes, ce nombre n’est que d’environ 100. Dans un monde de six milliards d’habitants, la racine carrée de 1% est d’environ 8.000 personnes.

J’ai eu l’occasion à cette époque de voir une vidéo sur la guérison d’un cancer de 7,6 cm de diamètre dans la vessie d’une femme, il avait été diagnostiqué inopérable selon les critères médicaux occidentaux. En dernier recours elle est allée dans un hôpital sans médicaments à Pékin en Chine [à présent fermé pour raison politique]

Dans la vidéo, on voit la femme couchée dans une chambre d’hôpital. Elle est tout à fait réveillée et consciente, elle croit au processus qui va se produire. Devant elle, un technicien passe une sonde à ultrasons au-dessus de son bas-ventre et on peut voir l’échographie sur une télévision à écran partagé. À gauche de l’écran il y a un instantané, une image arrêtée à un moment précis pour référence. Ainsi nous voyons son état à ce moment donné. À droite de l’écran, nous pouvons observer en temps réel trois praticiens se tenant derrière elle. Ils travaillent avec l’énergie dans son corps et avec les émotions dans leurs corps.

Alors ils commencent à psalmodier un mot qui, pour eux, renforce le sentiment intérieur qu’elle est déjà guérie, ils se sont entendus là-dessus. La mélopée dit essentiellement : « déjà guérie », « déjà fait ». Dès qu’ils commencent à avoir ce sentiment et qu’ils disent ces mots entre eux, sur l’écran de télévision on peut observer en temps réel cette tumeur cancéreuse disparaître en moins de trois minutes – en temps réel. Ce n’est pas comme l’accélération du temps dans un documentaire, quand vous voyez une rose s’épanouir en trente secondes, ce qui arrive normalement en plusieurs jours. C’est littéralement arrivé en moins de trois minutes. Son corps a réagi aux sentiments des praticiens qui étaient entraînés à avoir ce type d’émotion qu’ils ressentaient. Et tout ce qu’ils ressentaient était le sentiment d’être en présence d’une femme déjà guérie. Pleinement rétablie, avec toutes ses capacités. Ils ne la voyaient pas comme une femme malade. Ils ne disaient pas : « Mauvais cancer, tu dois t’en aller ».

J’ai eu l’opportunité de parler à ce monsieur, Luke Chan, qui a réalisé ce film. Et je lui ai posé une question. J’ai dit : « Et si les praticiens n’avaient pas été là ? Cette femme aurait-elle pu le faire, n’importe qui pourrait-il le faire lui-même ? » Il m’a souri quand je lui ai posé la question. Il a dit : « Gregg, en toute probabilité, elle aurait pu le faire seule. Toutefois il y a quelque chose avec nous, les humains, il semble que nous nous sentons plus puissants et forts quand nous sommes soutenus par d’autres dans ce que nous croyons, dans ce que nous choisissons d’accomplir. »

Bien plus récemment le scientifique Masaru Emoto, a effectué une recherche sur les relations entre les émotions humaines, les sentiments humains et les gouttes d’eau. Celle-ci démontre cette relation encore plus ostensiblement. Il se trouve que ces scientifiques, ce programme spécifique de recherche, ont découvert que des gouttelettes d’eau, qui par ailleurs constituent 70% de notre monde et 70% de nos corps, que ces gouttelettes d’eau réagissent aux émotions humaines, qu’elles soient ressenties dans le corps ou écrites sur des étiquettes placées sur des flacons d’eau. Et au sentiment du chercheur quand il a écrit l’étiquette et l’a placée sur ces flacons. Les flacons sont alors congelés pendant une période déterminée, retirés du congélateur, puis ils cristallisent en commençant à fondre. Et les cristaux sont le signe révélateur de ce qui s’est passé avec l’émotion.

Et c’est magnifique, magnifique, ce sont des exemples très pointus de la façon dont chacun de nous a la possibilité de participer. Pas par le contrôle et la manipulation mais plutôt en participant aux événements de notre monde, aux événements de nos vies, nos familles, nos communautés et nos corps au travers du champ qui relie tout dans la création. »

Traductrice: Bénédicte site
http://visualizedaily.com

Transmis par Joeliah le 4 – octobre – 2015

© 2015, Le Jardin de Joeliah.

La cohérence cardiaque

La cohérence cardiaque pour améliorer sa vie

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Depuis une quinzaine d’années, on entend de plus en plus souvent parler de la cohérence cardiaque, dont les bienfaits ont été prouvés par plusieurs études scientifiques très sérieuses. Cette méthode de contrôle des rythmes cardiaques a été découverte par des chercheurs américains, puis rendue largement publique par le Dr David Servan-Schreiber, le même qui a lancé la « mode» des oméga-3 et a averti le grand public des potentiels dangers sur les neurones du téléphone cellulaire.Depuis, de nombreux physiciens partout dans le monde préconisent la pratique de cette forme facile de relaxation dont les bienfaits semblent prometteurs. Mais en quoi consiste exactement la cohérence cardiaque? Tâchons d’y voir un peu plus clair…

Qu’est-ce que c’est?

On sait tous que notre cerveau a une influence directe sur notre cœur : la preuve, c’est qu’il se met à battre de plus en plus vite lorsque nous vivons une émotion forte (positive ou négative), lorsque nous avons peur, lorsque nous sommes en colère ou particulièrement enthousiastes.
Par contre, peu d’entre nous se doutent que l’inverse est aussi vrai : la vitesse des battements de notre cœur a aussi une influence sur notre cerveau et lorsqu’on arrive à la modifier, elle peut influencer grandement nos émotions.
Si nous prenons notre pouls à la main, nous avons une idée approximative de sa vitesse, mais lorsqu’on analyse la fréquence cardiaque avec un capteur, on peut se rendre compte que notre cœur ralentit et accélère en permanence. La cohérence cardiaque est donc une manière de régulariser la vitesse des battements de notre cœur. Et en parvenant à accorder notre cœur et notre cerveau, les chercheurs affirment que de nombreux bienfaits apparaissent.

Comment on fait?

Mais comment est-il possible d’avoir une influence sur notre vitesse cardiaque, de la rendre régulière? La réponse est simple : avec notre respiration. En effet, les chercheurs ont découvert que la vitesse de notre respiration est directement liée à celle de nos battements cardiaques.

Il semblerait que le nombre moyen de respirations complètes qui est lié aux émotions positives et au bien-être se situe entre 5 et 7 par minute, selon les personnes. Par « respirations complètes », nous voulons dire une inspiration longue et profonde et une expiration totale : le cycle est d’environ 10 secondes en tout (5 secondes d’inspiration, 5 secondes d’expiration.)

Ainsi, pour pratiquer la cohérence cardiaque de manière efficace, il faut parvenir à modifier notre respiration pendant aussi peu que 5 minutes par période, 3 fois par jour. De nombreux fichiers vidéos et audios sont disponibles sur le net pour vous aider à atteindre la bonne vitesse de respiration (voir plus bas), mais après quelques jours il semblerait que celle-ci devienne instinctive et qu’il soit possible de se mettre soi-même, quand on le souhaite, en situation de cohérence cardiaque.

Pourquoi ça fonctionne?

Lorsque nous pensons à des choses positives, lorsque nous voyons des paysages qui nous touchent ou écoutons une chanson, lorsque nous nous rappelons des beaux moments de notre vie, notre cœur et notre cerveau fonctionnent en parfaite cohérence. Dans les cas contraires, c’est-à-dire lorsque les émotions négatives prennent le dessus, le cerveau et le cœur ne sont pas accordés et les courbes qui sont relevées par les capteurs enregistrent un chaos total : il n’y a aucune régularité.
Pourtant, la régularité respiratoire (et donc cardiaque) permet à toutes les fonctions vitales de notre corps d’être en harmonie : libération des hormones, tension artérielle, digestion, gestion du stress, système immunitaire, etc.

Quels sont les effets?

Lorsque nous parvenons à contrôler et régulariser nos battements cardiaques, toutes nos fonctions biologiques vitales s’harmonisent et les effets d’aussi peu que 5 minutes durent plusieurs heures. Ces conséquences de la pratique de la cohérence cardiaque sont multiples :

  • Sensation immédiate de bien-être et de calme
  • Augmentation de l’efficacité du système immunitaire
  • Augmentation de l’attention et de la concentration
  • Diminution de la douleur
  • Diminution de la réactivité émotive
  • Diminution des troubles du sommeil et de l’anxiété
  • Meilleure gestion du stress
  • Perte de poids
  • Harmonisation des différents systèmes du corps (respiratoire, immunitaire, cardiaque et digestif)
  • Augmentation dans des proportions très importantes du taux de DHEA (hormone de la jeunesse), qui peut aider à ralentir le vieillissement.
  • Baisse de la tension artérielle chez les hypertendus

 

Pour en savoir plus

Si vous souhaitez apprendre à respirer de manière à réduire la vitesse de vos battements cardiaques, les quelques liens ci-dessous proposent des tutoriels et explications supplémentaires.

Exercices :

Celui que j’utilise au quotidien :

De plus,  il est possible de télécharger gratuitement des applications pour votre téléphone intelligent :

  • CardioZen (Android et Apple)
  • RespiRelax (Apple)
  • Respiroguide (Android et Apple)

Une fois que notre corps a assimilé les rythmes bénéfiques de respiration, il est possible de se mettre soi-même en état de cohérence cardiaque à n’importe quel moment : lors d’un stress occasionnel, dans un autobus ou un train, etc.

Toutefois, même si nos esprits scientifiques post-21e siècles ont souvent besoin de graphiques et de démonstration informatisée, sachez que si le terme « cohérence cardiaque » est relativement nouveau, sa pratique est en fait millénaire. Toutes les techniques de relaxation, mantras et même la prière répétitive (au moyen d’un rosaire, par exemple) atteignent le même but : créer une régularité et un équilibre intérieur qui nous permettent de faire abstraction des sources externes de tensions et de stress.

Cécile Moreschi, rédactrice Canal Vie

http://www.canalvie.com/